Theperfclub

Nom de l’auteur/autrice :Gildas CAUVIN

ThePerfClub permet aux coachs et sportifs de planifier, analyser et améliorer leurs performances.

Charge interne de l'entraînement

Guide de démarrage sur l’analyse de l’entraînement

Pour transmettre le bon message à la bonne personne au bon moment, il faut que vos outils fonctionnent avec les bons publics. Alors que la communication 1: 1 peut prendre un temps considérables, facilitons la avec des indicateurs transparents et partageable. Cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas engager les sportifs de manière personnelle et pertinente.  L’analyse et la collecte de données sont un sujet très vaste et peuvent être assez accablants. Comment commencez-vous? Ceci est votre guide de démarrage rapide « commencer les analyses en moins de 10 minutes ». Pourquoi l’analytique? Commençons par les bases, que faisons-nous ici? Vous installez l’analytique pour cinq raisons principales: Pour comprendre votre coaching , votre programme et vos athlètes de manière quantifiable. Obtenez une vue sans conneries de l’adéquation du programme à l’athlète : les sportifs encaissent-ils la charge et progressent-ils semaine après semaine? Modélisez votre coaching comme un pocess + des indicateurs de base : lorsque vos indicateurs de base se développent, votre coaching évolue également. Apprenez au bon endroit pour vous concentrer : comprenez où se trouve la plus grande faille de votre process et concentrez vos efforts. Développez votre coaching : en vous basant sur le domaine d’intérêt pour augmenter votre retour sur entraînement Mais surtout parce que vous ne pouvez pas améliorer ce que vous ne mesurez pas. Le démarrage rapide Voici le processus de démarrage rapide en cinq étapes: 1. Objectifs de performance 2. Programme 3. Collecte de données 4. Mesures 5. Tableaux de bord Faisons cela! Objectifs de performance La première action consiste à noter vos objectifs de performance. Vos objectifs de performance concentrent votre collecte de données et votre plan de périodisation stratégique sur la résolution de ces objectifs. Voici quelques exemples courants pour vous aider à démarrer: Je lance un nouveau programme et je dois comprendre et améliorer les éléments suivants: Je possède un modèle de programme existant et j’ai besoin de le comprendre pour le personnaliser Je possède un programme existant, mais les données analytiques existantes sont trop compliquées pour faire une analyse. Je souhaite utiliser de nouveaux outils d’analyse et de suivis de la performance, mais l’intégration de nouveaux outils est trop difficile et prend trop de temps. J’ai besoin de répondre plus rapidement aux questions d’analyse. J’ai besoin de suivre plusieurs programmes et plusieurs athlètes autour de données normalisées et fédératrices Si l’un ou plusieurs de ces éléments vous semblent familiers, vous êtes prêt pour la suite ! La charge de façon holistique Les mesures de charge interne (charge perçue) et de charge externe (l’entraînement lui même) définissent les angles complets de votre cycle de vie du programme.  Si vous n’avez pas encore d’outils de mesure ou que vous voulez essayer ThePerfClub, nous pensons que c’est la façon la plus simple ! En 10 minutes d’utilisation, vous aurez les TOUT pour mesurer vos performances. Au début, nous vous recommandons de ne penser qu’aux 3 étapes suivantes : Mesurer la planification : quand se trouve l’objectif ? quelle est votre stratégie pour l’atteindre ? Etablissez d’abord l’objectif et les grandes tendances en matière de volume et d’intensité pour le block de travail que vous voulez mettre en place. Puis créez votre (vos) première(s) semaine(s) d’entraînement. Vérifiez que vos semaines d’entraînement ont la même logique que votre stratégie : si vous faite une période de foncier, votre volume doit augmenter… Mesurer l’entraînement : exécution de la stratégie, l’entraînement Mettez à jour les séances selon ce qui a été effectué (pour mesurer le réel plutôt que la prescription…) Notez le ressenti de votre athlète pour chaque séance Mesurer la Performance : votre stratégie a -t-elle fonctionné ? Testez régulièrement avec des objectifs intermédiaires que vous êtes sur la bonne route Gérez la fatigue au mieux à l’approche des objectifs Optimisez votre hygiène de vie pour encaisser la charge et progresser plus vite et longtemps Quelques bonnes pratiques: Gardez des questions simples : il faut que vos athlètes les comprennent et y répondent rapidement pour le faire régulièrement Indicateurs visuels : rendez ludique pour vous et vos sportifs la visualisation des objectifs  Tableaux de bord Maintenant que nous avons rassemblé un groupe de métriques incroyablement précieux, il est temps de les rendre exploitables.  Tableau de bord en temps réel Un tableau de bord en temps réel se met à jour automatiquement et peut être partagé entre les membres de l’équipe. Ce type de tableau de bord est le plus puissant pour motiver et focaliser une équipe autour d’un objectif et responsabiliser. Vous pouvez utiliser ThePerfClub pour créer un tableau de bord en temps réel :  Quelques bonnes pratiques autour des indicateurs d’un tableau de bord : Les tableaux de bord sont le reflet du programme et du ressenti de l’athlète, ils doivent donc être adaptés à l’athlète.  Prenez en compte les différences individuelles : comme sur ThePerfClub, vos indicateurs doivent être impactés par l’âge, le genre, la taille, le poids, le niveau d’expérience… 2 même valeurs pour deux athlètes ne veulent pas dire la même chose Démarrage rapide terminé Nous venons de nous amuser beaucoup et maintenant notre pile d’analyse est entièrement configurée. Nous avons défini nos objectifs de performance, conçu notre premier process, collecté des données à partir de nos applications Web / mobiles, construit nos premières mesures et distribué nos premiers tableaux de bord. Vous devriez être fier d’avoir fait tant de choses en si peu de temps !

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Mesurer l’adéquation programme-athlète

Dans cette leçon, vous apprendrez à utiliser l’analyse pour quantifier l’adéquation programme-athlète. Comme nous l’avons appris à la dure, ces connaissances peuvent vous faire économiser du temps au lieu de stagner ou de peu progresser. L’adéquation programme-athlète se produit lorsqu’un athlète progresse avec le programme que vous avez construit. Tous les blocks et toutes les séances et exercices doivent être adaptés au sportif pour progresser. Cela semble assez simple. Les gens savent sûrement comment faire cela de manière fiable ? Les centres de formations, Staps, Creps et autres centres d’apprentissage de l’entraînement doivent sûrement avoir une méthode reproductible pour créer des programmes avec lequel un athlète progresser de manière fiable ? Nan. La réalité n’est pas si jolie. Quel est la part de tous les programmes qui ne parviennent pas à optimiser l’adéquation programme-athlète ? Ne parlons pas des programmations en ligne. Nous n’avons absolument rien contre puisque bien choisi par l’athlètes elles peuvent être bénéfiques un temps et permettre de débuter dans une pratique. Ces coachs construisent généralement un programme. Mais ils ne parviennent pas à l’individualiser. Aujourd’hui, nous allons discuter de la façon d’utiliser l’analyse pour quantifier l’adéquation programme-athlète. Suivis des performances Le suivi des performances doit toujours se faire dans le contexte de l’objectif du block d’entraînement : augmenter la capacité de travail ? Etre plus endurant ? Plus fort ? Plus explosif ? Dans chacun des cas il faudra: Etablir le niveau de base de l’athlète à partir duquel progresser Etablir les niveaux de fréquence, volume, intensité par rapport à lui et à l’objectif Adapter la prescription selon l’état de forme quotidien : êtes vous sur que c’est le mercredi 16 Juin 2023 que vous allez faire ce record perso ? et pas la veille ou la semaine d’après ? Gérer la fatigue à l’approche de l’objectif tester régulièrement Tester quoi ? Choisir une métrique L’astuce consiste à choisir une métrique qui représente avec précision l’objectif que vous voulez mesurer. Passons en revue quelques exemples concrets : hypertrophie : augmentation du tonnage augmenter la capacité de travail : augmenter le volume augmenter la force : augmenter l’intensité gagner la compétition : baisser la fatigue en restant entraîné Nous recommandons que tous les produits mesurent leur adéquation programme-athlète. Voyons maintenant comment nous pouvons le faire. Collecter des données Illustré avec ThePerfClub, nous pouvons collecter les points de données suivants pour évaluer la stratégie de périodisation : On peut voir une première phase d’accumulation avec une hausse du volume, puis une phase d’intensification avec une baisse du volume (et donc de la fatigue) qui s’accompagne logiquement d’une hausse de l’intensité. Vous voudrez d’abord tester votre programme et voir si il colle à votre stratégie. Vous pouvez après quoi faire un bilan régulier pour éventuellement ajuster la charge prévu selon la réponse de l’athlète. Ensuite, vous verrez les données circuler dans ThePerfClub: Il est maintenant temps de voir comment cela est visible pour toute une équipe sur la période voulu : Mesurer l’adéquation programme-athlète Si vous mesurez votre progression, vous êtes sur la bonne voie pour quantifier l’adéquation programme-athlète. Cela vous permet de tester systématiquement si vos athlètes restent performant quand il le faut et si votre organisation est prête bonne pour progresser. Se sentir en adéquation avec le marché des produits Trouver l’adéquation programme-athlète est autant une démarche qualitative que quantitative. C’est un voyage émotionnel consistant à passer d’un manque de résultats, de frustration à trouver la bonne prescription d’entraînement à un moment où les athlètes commencent à progresser avec vous. En utilisant ces deux stratégies de mesure et de ressenti, vous êtes sur la bonne voie pour trouver le succès. 

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Guide du suivi des athlètes: comment en tirer le meilleur parti

Le suivis des athlètes deviennent de plus en plus utiles dans de plus en plus d’outils: analyses du rythme cardiaque, suivis de la charge, sommeil, … Mais cela introduit une certaine complexité dans la gestion du suivi. Voici les meilleures pratiques pour maintenir des données athlètes cohérentes et de haute qualité, afin que vous puissiez vous concentrer sur la performance. Une fois que vous avez collecté des données athlètes, vous pouvez faire bien plus que créer des graphiques (ne vous méprenez pas, ils sont très bien). Il existe désormais de nombreux outils qui utilisent le suivis des athlètes pour aider les professionnels de sport à prendre des décisions pour s’entraîner mieux : baisser la charge pour prévenir un risque de blessure, gérer la surcharge de semaine en semaine, gérer la fatigue… etc. Dans cet article, nous décrirons ce qu’est exactement le suivi des athlètes et ce que vous pouvez en faire. Nous discuterons des défis communs auxquels les professionels de la performance sont confrontées, ainsi que de la manière de s’y préparer et de les surmonter. Commençons! Qu’est-ce que le suivi des athlètes ? Les données des athlètes sont tout élément qui indique qui sont vos athlètes et comment ils vivent l’entraînement. Les coachs et préparateurs physiques collectent des données pour mieux comprendre leur athlètes et l’expérience de leur programme, dans le but d’améliorer les performance en améliorant le « retour sur entraînement ». Certaines personnes appellent cela «données de bien être», «suivis de la charge», «données physiologiques». Comme vous pouvez le voir, c’est un nouveau domaine, et pleins d’initiatives et de produits interessants voient le jour régulièrement. Lorsque nous parlons de données athlètes, nous entendons des informations telles que: le stress, le sommeil, l’alimentation, les interactions sociales, le volume, l’intensité, la fréquence… Voici à quoi peuvent ressembler les données d’un athlète d’un point de vue holistique avec le RestQ : Ce type de données est très utile pour comprendre vos athlètes et comment ils réagissent à vos entraînements et quels sont les facteurs hors entraînement. Pourquoi il est important de collecter des données athlètes Les données athlètes sont à la mode car il y a tellement de choses que vous pouvez en faire et tellement d’informations exploitables que vous pouvez optimisez votre progression (si vous savez comment les utiliser). Voici quelques cas d’utilisation courants: 1. Mesurer l’adéquation programme-athlète Utilisez des séances de tests pour mesurer si les athlètes battent leurs records sur les mouvements ou exercices ciblés pendant le programme. Si les athlètes réagissent bien au rythme de surcharge / décharge et à l’intensité/volume prévu.  2. Comprendre un cycle d’entraînement Comprenez le parcours des athlètes en surveillant vos métriques sur un block, en particulier la phase d’acclimatation au début du programme (par exemple, pour trouver si le volume de départ est bon), le rythme de surcharge (par exemple, si l’entraînement peut être plus difficile semaine après semaine) et la performance (par exemple, si l’athlète se sent mieux ou pas semaine après semaine). Vous pouvez désormais vous concentrer sur la partie la plus faible de ces étapes, qu’il s’agisse de modalité de volume/intensité, de progression ou de performance. 3. Développez votre activité avec des suivis personnalisées Le meilleur type de coaching donne l’impression qu’il est 1: 1. En collectant des données athlètes et en créant des programmes qui correspondent à des profils spécifiques, les meilleurs coachs peuvent faire des suivis super personnalisés à grande échelle. Les programmes basés sur le contexte de ce qu’un athlète a fait et qui il est marchent mieux et se « vendent » mieux qu’une stratégie de vente de template en ligne. 4. Recueillir des discussions avec les athlètes Pour vous assurer que vous construisez un plan que les athlètes apprécient et avec lequel ils progressent, vous devez parler à vos athlètes! Les meilleures coachs, entraîneurs et préparateurs physiques ont des boucles de communication étroites avec leurs sportifs. Les données athlètes facilitent cette tâche, car vous pouvez facilement cibler des sondages et des discussions sur des groupes en particuliers. Vous auriez probablement des questions différentes pour les attaquants/défenseurs, pour les poids légers/lourds, pour les occasionnels/sérieux. 5. Fournir un service athlètes exceptionnel Ce type de données est également très utile pour les coachs lors de conversations 1: 1. Si votre coachs si l’athlète se sent en forme ou non, ce qui lui manque et ce avec quoi il rencontre des problèmes, il peut fournir un meilleur suivi. Où pouvez-vous utiliser les données athlètes? Au cours des dernières années, nous avons vu une prolifération d’outils conçus pour vous aider à faire l’un de ces objectifs (et d’autres) extrêmement bien : google form et excel les montres connectés pour les données physiologiques et de sommeil les VBT les outils de mesures de la puissance … Plutôt que d’utiliser des suites monstrueuses comme excel, de nombreux coachs agiles se tournent vers une pile de ces types d’outils de niche pour tirer le meilleur parti de des données athlètes.  Défis liés à l’utilisation des données athlètes Cependant, avec un accès plus facile aux informations athlètes et aux outils correspondants, vous rencontrerez probablement également des défis pour les résoudre. 1. Trop d’outils parmi lesquels choisir Avec autant de services utiles sur le marché, il peut être difficile de déterminer lequel convient le mieux à vos besoins particuliers ou même avec quels outils commencer!  2. Incohérences des données Lorsque les professionnels du sport commencent à utiliser de nombreux outils à des moments différents et à puiser dans différentes sources de données, ils sont souvent encombrées de trop de données et dupliquent des séances ou programmes avec des noms différents. Généralement, ils suivent trop de données, et ne sont pas stricts sur l’individualisation. 3. Savoir quand passer au niveau supérieur La plupart des outils d’analyse vous aideront à répondre à des questions importantes sur vos programmes et vos les performances des athlètes. Au début, la mise en place du suivis de la charge peut être exagérée. Cependant, il est difficile de savoir quand vous avez avoir besoin de monter en gamme pour être un meilleur pro de la performance, ce qui est sans doute votre objectif. Lorsque vous devrez répondre à ces questions difficiles, vous ne disposerez pas des

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Comment penser l’analyse des performances

Vous devez penser l’analyse différemment. Dans cette leçon, vous apprendrez à quoi ressemble un processus d’analyse réussi et comment le faire vous-même. L’analyse peut être accablante. Vous lisez des milliers d’articles et études scientifiques sur des centaines d’indicateurs de la performance et du bien être. Vous avez envie de collecter des tas de données analytiques. Vous essayez d’intégrer les données à des outils d’analyse. Quel est le but de tout cela? L’analyse consiste à apprendre . Pour réussir, les professionnels de la performance et athlètes doivent apprendre le plus rapidement possible. C’est le seul moyen de s’assurer que chaque nouvel objectif va être atteint et que chaque compétition sera abordé entièrement préparés et ou on est meilleur que la fois précédente. Malheureusement, l’apprentissage n’est presque jamais la priorité. La plupart des entraîneurs, coachs et athlètes suivent le schéma suivant : Construction du programme. Plus ou moins d’individualisation (jamais assez). Analyse des indicateurs difficilement actionnables. Revenez à la construction du programme. Où l’apprentissage s’est-il produit? Quel était l’intérêt de regarder les analyses? Pourquoi avez-vous même mis en place des analyses en premier lieu? Cela nous laisse avec un processus décevant pour l’optimisation de la performance : Construisez un programme. Il y a un meilleur moyen Le Lean Startup , dont vous avez probablement entendu parler mais que vous n’avez peut-être jamais lu, préconise un processus beaucoup plus efficace que l’on peut appliquer à la performance : Créez un programme expérimental . Mesurez comment les athlètes réagissent à votre expérience . Découvrez si votre test a fonctionné ou non. L’astuce cependant, c’est que vous commencez réellement par l’étape 3. Tout d’abord, vous devez décider de ce que vous voulez apprendre selon votre objectif : trouver le volume tolérable ? l’athlète encaisse t’il l’entrainement ? Lui faut il moins ? Plus ? Est ce qu’il récupère bien ? La charge est sous contrôle ? Faut il faire plus de variation d’entraînement ? Faut il faire une décharge ? … Ensuite, vous déterminez comment vous allez le mesurer. Et ce n’est qu’après cela que vous construisez votre expérience. C’est la chose la plus importante de l’analyse! Si vous ne retirez rien d’autre de cette série, prenez ceci: avant de créer quoi que ce soit – séance, programme, modalités de récupérations, décidez de ce que vous allez apprendre en les construisant. Ce processus rencontre un énorme succès dans les staffs de toutes tailles.  Choisissez une fenêtre de temps Lorsque vous analysez vos données, vous devez choisir une fenêtre de temps qui a du sens : le microcycle, le mesocycle, le macro cycle… un block de travail. Ce n’est que dans son contexte que la donnée à de la valeur. Des fenêtres de temps plus courtes signifient que vous apprendrez plus rapidement. Cela prend une semaine complète pour voir les changements de la charge hebdomadaire, mais cela ne prend qu’une minute pour analyser la charge, la variation d’exercices et l’impact sur l’athlète. On fait tous des erreurs, mais plus votre fenêtre de temps est petite, plus vous pouvez apprendre et modifier rapidement le plan. En revanche, si vous choisissez une fenêtre temporelle trop petite, votre donnée sera inutile. Par exemple, il faut enchainer plusieurs semaine d’entraînement pour voir l’impact de la charge, et son volume tolérable par les athlètes. Vous ne voulez pas remettre en question votre plan avant qu’il ne puisse être significatif. Pour nous en ce moment, la fenêtre de temps idéale est hebdomadaire. Charges hebdomadaires, données de bien être, etc. Ils assez clairs pour nous indiquer sur nous devons changer quelque chose, ce qui nous permet d’itérer rapidement.

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charge d'entraînement

Choisir les bons indicateurs

Tout le monde aime ses tableaux de bord (enfin, nous oui), mais nous choisissons rarement les bons indicateurs à suivre. Et suivre les mauvaises métriques est presque aussi mauvais que ne rien suivre du tout. Voici ce que vous devez savoir sur la sélection de métriques exploitables. Les bonnes mesures offrent deux choses: 1) elles vous aident à identifier comment vos athlètes et l’entraînement se portent et 2) elles vous indiquent sur quoi vous concentrer. C’est pourquoi il est important de les partager entre coachs, préparateurs physiques et staff et bien évidemment avec les athlètes. Ils créer des objectifs et nous gardent sur la bonne voie ! Comment les indicateurs évoluent Au fur et à mesure que l’organisation ou l’équipe grandit, son historique devient plus complexe. Rien que multiplier le nombre d’athlètes ou de joueurs par le nombre de données suivis pour chacun d’eux, chaque jour, nous donne l’étendu de l’enjeux. Gardez toujours le cap avec 2 à 3 grands indicateurs de performance. Chaque mois, l’équipe peut faire un rapport ou se réunir pour faire un bilan sur le programme, le bien être, les forces et les faiblesses, l’organisation en place. Pour avoir le maximum de longévité, choisissez des indicateurs que vous allez garder. Vous allez sans doute abandonner certains que vous trouverez moins pertinent, concentrez vous sur ceux qui sont indispensables. Choisir ses indicateurs Comme bien souvent, « ça dépend ». Il y a des indicateurs « universels » comme tous les indicateurs de charge interne, mais vous allez choisir ceux qui sont disponibles pour vous. Par exemple les questionnaires wellness sont les plus faciles à mettre en place et sont aussi utile si bien fait que des marqueurs objectifs. Les indicateurs de suivis de la charge comme la monotonie, la contrainte et le niveau de fitness ou encore l’indice de charge chronique:aigue sont également des incontournables. Ils sont des indicateurs facile à obtenir et donne une idée de la direction du programme. Plus particulièrement, vous voudrez suivre le volume avec VOS mesures : est ce que le plus pertinent est le nombre de répétitions ? de mètres ? le tonnage ? Le temps ? Cela dépendra du sport et de ce que vous voulez mesurer. Quel type de performance voulez-vous analyser dans le sport ? Analyse technique Le développement de meilleurs athlètes, des niveaux d’élite aux programmes de base, a été un objectif clé du domaine de l’analyse de la performance dans le sport au cours des dernières années. Les détails mécaniques des habiletés exécutées par les athlètes sont soigneusement analysés pour détecter les défauts de technique, suivre les progrès et identifier les changements pendant la préparation ou même évaluer la rééducation après une blessure. L’efficacité avec laquelle un athlète exécute des habiletés spécifiques ou un passage plus large du jeu est mesurée, comparée et classée, positivement ou négativement, par rapport à un résultat attendu prédéterminé. Par exemple, un entraîneur peut s’attendre à un taux de réussite minimal de ses milieux de terrain ou à une vitesse minimale de ses ailiers dans le football. Souvent, ces mesures sont présentées sous forme de ratios ou de pourcentages de compétences exécutées avec succès, telles que le pourcentage de réussite ou de succès dans la lutte. Ils sont ensuite utilisés pour développer des profils de performance des athlètes qui sont utilisés pour les comparer et les comparer à des coéquipiers ou à des rivaux. Analyse tactique De même, l’analyse tactique effectuée par les analystes de performance aide les entraîneurs à mieux comprendre l’impact de leurs décisions tactiques. Cela peut également aider à identifier les tendances spécifiques et les configurations tactiques préférées des équipes adverses. En tirant parti des dernières technologies d’analyse vidéo et de suivi des joueurs, les analystes de performance sont désormais de plus en plus capables d’évaluer les modèles de jeu en conjonction avec les compétences exécutées, l’emplacement sur le terrain, les horaires et les joueurs impliqués pour dessiner une représentation précise des écarts tactiques selon des scénarios de match particuliers. . Analyse physiologique Les mouvements des athlètes sont également soigneusement évalués pour s’assurer qu’ils atteignent des positions avantageuses, ainsi que les vitesses souhaitées, la distance parcourue et les plages de vitesse. Cette ligne de travail des analystes de la performance est étroitement complétée par le travail d’une équipe de renforcement et de conditionnement. L’objectif est de permettre à l’athlète d’atteindre sa condition physique optimale en fournissant une analyse de performance sur des domaines liés à sa force, sa puissance, son endurance, son agilité, sa stabilité et sa mobilité. La prévention des blessures est également une priorité, en particulier dans les sports avec un contact physique intense où la probabilité de blessure est élevée. Les outils de gestion de la charge permettent de comprendre les efforts physiques des athlètes pendant l’entraînement et les compétitions et permettre aux entraîneurs de mieux gérer l’intensité des séances. Analyse psychologique L’entraînement psychologique est un élément clé du processus d’entraînement lorsqu’il s’agit de préparer mentalement les athlètes aux pressions d’un sport et aux conditions difficiles qui peuvent avoir un impact sur leurs motivations et leurs ambitions d’atteindre les objectifs souhaités. Les analystes de performance sont en mesure de soutenir les entraîneurs en évaluant la discipline, l’effort, les efforts et les autres fluctuations du rythme de travail d’un athlète qui pourraient être associés à des facteurs mentaux dans le but de minimiser les effets des influences mentales négatives et d’influencer positivement les athlètes. Le plus souvent, les analystes de performance utilisent leurs capacités d’analyse vidéo pour créer des clips de motivation et des extraits vidéo qui peuvent aider les entraîneurs à préparer mentalement leurs équipes et leurs athlètes.

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Eviter le surentraînement

Le surentraînement

Le surentraînement est un sujet très débattu dans le monde de la préparation physique depuis un certain temps maintenant. Certain disent qu’ils ne croient pas au surentraînement, mais seulement à la « sous-récupération ». Premièrement, il convient de discerner la différence entre le surentraînement et le dépassement fonctionnel. Les objectifs de ce court article sont de vous aider tous à comprendre : Qu’est-ce que le syndrome de surentraînement ? Comment fait-on la distinction entre le surentraînement et le dépassement fonctionnel ? Qu’est-ce qui distingue l’inflammation aiguë / locale VS. chronique / systémique ? Comment éviter le syndrome de surentraînement ? Développez vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Qu’est-ce que le syndrome de surentraînement ? Par définition, le syndrome de surentraînement est une baisse de la performance due à une quantité d’intensité qui ne permet pas d’atteindre le niveau de récupération adéquate. Cette diminution des performances persiste même après une période de repos prolongée. Le surentraînement peut durer de plusieurs semaines à plusieurs mois – et dans certaines occasions pendant toute la durée de la carrière de l’athlète. Et qu’est-ce qui le distingue du «dépassement fonctionnel» ? La différence entre le surentraînement et le dépassement fonctionnel est que le dépassement est un stimulus d’entraînement pour promouvoir l’adaptation conduisant à une amélioration des performances. C’est la prémisse principale de la supercompensation que nous nous efforçons tous d’obtenir avec nos athlètes. La courte diminution de la performance ne dure que quelques jours avec un dépassement excessif, et la plupart des entraîneurs conviendraient que le dépassement est un stimulus planifié qui se termine par une performance accrue. Quel est le symptôme le plus constant du surentraînement ? Le symptôme le plus courant est une diminution des performances qui persiste même après des périodes de repos prolongées. Cependant, un changement d’humeur est normalement le premier indicateur qui nous porte à croire qu’un solide suivis des athlètes pourrait aider à éviter ce syndrome. Il existe plusieurs autres symptômes dont nous parlerons plus tard et qui pourraient facilement être surveillés avec les systèmes de surveillance les plus élémentaires. Qu’est-ce qui distingue l’inflammation régionale de l’inflammation systémique ? L’entraînement est connu pour provoquer des microtraumatismes. C’est tout l’intérêt de l’entraînement physique. Le traumatisme est guéri par une inflammation régionale (aiguë) avec une réponse bien orchestrée qui conduit à la guérison et à la régénération des tissus. C’est pourquoi il est si important de se préparer judicieusement à la performance. Cependant, si l’inflammation aiguë n’est pas guérie avec une récupération appropriée, il en résulte une inflammation chronique (systémique). Après un certain temps de temps, des globules blancs en particulier apparaissent sur la scène pour aider à la guérison de tissus traumatisés – et ces globules blancs sont dirigés par des cytokines. Les cytokines dans la circulation sanguine sont un moyen principal de déterminer que l’inflammation aiguë est maintenant systémique. Quels sont les effets spécifiques des cytokines ? Les effets hormonaux sous forme de testostérone plus faible et de cortisol plus élevé sont dus à l’effet des cytokines sur l’hypothalamus – entraînant également une baisse de la libido et une baisse de l’appétit. L’hypothalamus est également à blâmer pour les niveaux d’énergie inférieurs et même la dépression associés aux cytokines. Un simple questionnaire permettrait de quantifier facilement ce problème. Il est recommandé de poser des questions comme: Quelle était la qualité du sommeil de la nuit dernière sur une échelle de 1 à 5 ? Si leur réponse normale est 4 ou 5 et que tout à coup vous obtenez un 2, il est temps d’engager la conversation avec l’athlète. Comment le stress en dehors de l’entraînement (ex. Relations, école ou travail) est-il ressenti sur une échelle de 1 à 5? Le but est de rechercher un nombre hors du commun. L’hippocampe est également affecté par les cytokines lors de l’inflammation systémique – ce qui perturbe l’apprentissage, la mémoire et les performances cérébrales. Cela pourrait à nouveau conduire à des questions simples pour encourager l’intervention pour éviter un cas de surentraînement. Le simple fait d’être au courant de la vie de vos athlètes pourrait également aider à prévenir le surentraînement. Ont-ils l’air fatigués mentalement ? Si tel est le cas, n’ayez pas peur de poser des questions complémentaires. Quelle branche du système immunitaire est altérée par les cytokines ? L’immunité à médiation cellulaire est liée à l’élimination des virus et bactéries intracellulaires. L’immunité humorale se concentre sur l’élimination des agents pathogènes extracellulaires opérant dans le liquide du corps, comme le sang et d’autres liquides extracellulaires. On pense que l’immunité humorale est augmentée tandis que l’immunité à médiation cellulaire est supprimée. Si cette hypothèse est correcte, l’inflammation chronique associée au surentraînement laisse l’athlète exposé à une infection virale ou bactérienne. Cette hypothèse prend tout son sens quand on regarde les effets secondaires courants liés au surentraînement. C’est pourquoi tant d’athlètes tombent malades proche de la compétition. Ils sont quelques jours avant une « décharge » – ce qui signifie qu’ils sont fatigués – et puis ils tombent malade. Éviter d’aller jusqu’à provoquer une inflammation chronique est le moyen d’éviter un grand nombre de ces effets secondaires négatifs. Voici quelques recommandations simples pour éviter le surentraînement et prévenir les blessures : Tenir des suivis méticuleux d’entraînement et de compétition. Surveiller vos athlètes dans les domaines suivants: choix de l’exercice, ordre des exercice, volume, intensité moyenne et repos entre les séries. N’augmentez pas le volume de plus de 10% par semaine. Bien que ce ne suit pas une vérité absolue. Ayez au moins un jour de repos complet par semaine et notez également le repos requis entre les séries et les exercices. Variez de préférence les charges et les exercices d’un jour à l’autre, même si la charge totale reste la même d’une semaine à l’autre. Cela fait référence à la monotonie, qui est un marqueur mesurable. Variez les jours durs et légers. Les jours de forte intensité, baissez le volume si possible

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Durée d'entraînement et charge

Pourquoi ThePerfClub ne calcule pas (uniquement) la charge à partir de la durée d’entraînement

Contrairement à la plupart des outils de mesures de la charge que vous trouverez, ThePerfClub ne compte pas uniquement la durée d’entraînement et le RPE. Au lieu de cela, nous quantifions un score de charge total que votre corps subit au cours des entraînements. Voici pourquoi. Gildas CAUVIN Ci-dessous, nous expliquerons pourquoi la quantification de la charge avec le classique « RPE X durée d’entraînement » n’est pas la mesure utilisée par ThePerfClub, et pourquoi notre métrique de contrainte est pour nous beaucoup plus utile pour comprendre et améliorer vos performances et prendre des décisions d’entraînement. La quantification de la durée d’entraînement est elle importante ? En termes simples, non, ce n’est pas le cas. Compter le nombre de minutes que vous faites ne tient pas compte de deux éléments très importants d’un entraînement : les temps de récupération / temps sous tension et toutes les autres quantification de la charge. La durée d’entraînement prend en compte les durées de récupération Selon les types d’entraînement que vous faites, la durée d’entraînement n’est fiable que si vous faites une activité cardio : vous allez courir pendant une heure. Dans ce cas, la formule RPE (ou autre mesure d’intensité) X la durée d’exercice semble cohérente. Mais pour des types d’exercices en force, puissance ou vitesse ou les temps de récupération sont beaucoup plus importants que la durée d’effort, la durée d’entraînement est hors sujet. Par exemple, si vous faites une séance de force ou de puissance, une séance d’une heure et demi a-t-elle vraiment une charge plus importante qu’une séance d’une heure (à RPE égal) ? Si la séance d’une heure et demi est plus longue que celle d’une heure car vous avez fait plus de récupération entre les séries, avez fait plus de pauses (comme c’est le cas dans des efforts ou il faut préserver la fraicheur pour performer – vitesse, puissance…), alors la durée d’entraînement n’est pas en corrélation avec la charge globale. Même si dans votre calcul de la charge classique (RPE X temps) vous enlevez les temps de récupération, le calcul semble amener à une charge très faible : RPE important X temps très court. Cette formule bien qu’utile, ne prend pas en compte les autres stresseurs de l’entraînement, comparez : Avoir 20 minutes de temps sous tension à RPE 8 en soulevant des poids Faire 20 minutes de course à RPE 8 La charge est elle la même ? Non. Types de stresseurs de l’entraînement Les autres stresseurs de l’entraînement doivent être prise en compte, et bien qu’il soit difficile d’arriver à un chiffre qui soit une science exacte, essayons d’en prendre le maximum en compte, par exemple les plus simples à récolter sans appareil coûteux : Durée RPE Tonnage Volume Distance Intensité (absolue / relative) … Il existe de nombreuses façons de quantifier la charge en fonction des exercices qui n’impliquent pas de prendre des mesures très poussés. De même, différents mouvements stressent le corps de façon différentes : charge cardiovasculaire, charge musculaire, charge nerveuse, isolation ou corps entier. ThePerfClub: une mesure de la charge plus globale ThePerfClub prend en compte la charge interne et la charge externe de la façon la plus compréhensive possible en regroupant les différents stresseurs : L’impact du bien être et de l’hygiène de vie : Diet, sommeil, stress, récupération, humeur (à venir des données sur le RestQ) qui impactent directement la séance du jour Ces critères impacteront le niveau global et quotidien de la charge externe (quelqu’un avec une « mauvaise » hygiène de vie arrivera plus vite au surentraînement) La contrainte et la variation des entraînements Prise en compte des différents stresseurs externes de l’entraînement et de la façon dont ils sont organisés dans les cycles Charge interne avec le ressenti de la séance En résumé Comme la durée d’entraînement ne nous donnent aucun aperçu de la charge de vos entraînement, nous avons choisi une autre option: la contrainte globale. Fondamentalement, au lieu de multiplier le nombre de minutes par le RPE, ThePerfClub analyse vos données de charge externe (intensité, volume, tonnage, distance… de vos séances) en relation avec votre charge interne (votre ressenti, votre forme). Ainsi ces indicateurs que nous proposons interprètent votre ressenti pour personnaliser les recommandations d’entraînement sur la charge, la variation et votre capacité à performer. Progressez avec ThePerfClub!ThePerfClub analyse automatiquement votre programme d’entraînement et son impact pour déterminer votre capacité à performer chaque jour. Essayer maintenant Articles recommandés

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Entraînement cardiovasculaire et musculaire

Entraînement cardiovasculaire vs musculaire

La mesure de la charge de ThePerfClub mesure spécifiquement la charge musculaire sur le corps et peut être également utilisée pour l’entraînement cardiovasculaire. En d’autres termes, la tension est directement influencée par l’élévation de la charge en terme de volume, tonnage, distance, intensité maintenu (ainsi que le ressenti RPE maintenu sur la durée). Endurance cardiovasculaire vs musculaire L’endurance cardiovasculaire est la capacité de votre cœur et de vos poumons à alimenter votre corps avec de l’oxygène. L’endurance musculaire est la capacité de vos muscles à effectuer des contractions répétitives sans fatigue. L’entraînement du système cardiovasculaire augmente votre fréquence cardiaque pendant de plus longues périodes, ce qui augmente votre charge d’entraînement plus rapidement par rapport à la musculation. En raison des différentes natures inhérentes aux diverses modalités d’entraînement, notre fréquence cardiaque est affecté de différentes manières. Lors de l’entraînement du système cardiovasculaire, votre seuil de charge peut être plus élevé par rapport à la musculation, qui utilise principalement des voies « anaérobies ». En conséquence, votre charge cardiovasculaire pendant la musculation sera très probablement inférieure. Il est important de noter la place que différentes activités occupent sur l’échelle globale dans l’entraînement. Si la charge est faible, comment puis-je juger de l’entraînement en force ? Bien que la musculation puisse produire un plus faible score de charge sur ThePerfClub, son impact sur votre corps est pris en compte. ThePerfClub mesure la contrainte musculaire en fonction du tonnage et du volume ainsi que du temps passé dans différentes zones d’intensité. Par conséquent, si vous faites un entraînement basé sur la force avec des répétitions minimales et séparés par de longues périodes de repos (comme l’haltérophilie), vous aurez un score de charge calculé avec ces données. Conseils d’utilisation de ThePerfClub pour l’entraînement en endurance/fractionnés L’utilisation de la répartition des zones d’intensité ThePerfClub pendant vos entraînements peut vous aider à rester dans les zones d’entraînement appropriées à viser en fonction du type d’entraînement que vous effectuez. Zone de récupération: Moins de 70% de votre fréquence cardiaque maximale. Dans cette zone, vous développerez une endurance et une capacité aérobie de base, tout en brûlant des graisses. Zone aérobie: 70 à 80% de votre fréquence cardiaque maximale. Opérer dans cette zone développera votre système cardiovasculaire, y compris la santé cardiovasculaire, le système respiratoire et la santé pulmonaire. Le cœur pompe le sang plus efficacement (plus de sang pompé par contraction) Plus d’oxygène livré aux muscles et aux cellules Augmentation de la perfusion des tissus et des organes avec du sang Plus d’oxygène dans la circulation sanguine Plus de dioxyde de carbone dans le sang Respirations plus efficaces Échange de gaz plus efficace dans les poumons Zone anaérobie: 80 à 90% de votre fréquence cardiaque maximale. L’entraînement dans cette zone fonctionne mieux lorsque vous travaillez dur pendant de courtes périodes , puis vous vous reposez pendant des périodes égales ou plus longues (typiquement des fractionnés). L’entraînement anaérobie présente les avantages suivants: Se muscler Brûler les graisses Augmentation du métabolisme Renforce les os et améliore la fonction articulaire Améliorez votre système immunitaire Augmentez votre seuil d’acide lactique et votre endurance Élimine les toxines par la transpiration et le drainage lymphatique induit par l’exercice Augmentez vos fibres musculaires à contraction rapide (force, vitesse et puissance) Progressez avec ThePerfClub!ThePerfClub analyse automatiquement votre programme d’entraînement et son impact pour déterminer votre capacité à performer chaque jour. Essayer maintenant Articles recommandés

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