Theperfclub

Programmation

Suivi de la charge d’entraînement : quel outil est le meilleur ?

Suivi de la charge d’entraînement : quel outil est le meilleur ? Voici notre article détaillé sur les différentes méthodes de Suivi de la charge d’entraînement. Voir ThePerfClub Voir une démo Le suivi de la charge d’entraînement est devenu un élément essentiel de la performance sportive. Le suivi des performances d’un athlète permet aux individus et aux entraîneurs d’évaluer comment le corps gère l’entraînement et la compétition. Lorsqu’il s’agit de décider quels outils et modèles utiliser pour faire ce suivi de la charge d’entraînement, les coachs et préparateurs physiques sont confrontés à une multitude d’options. Mais lequel est le meilleur? Une conférence sur les sciences du sport, « Monitoring Athlete Training Loads ⏤ The Hows and the Whys », s’est tenue en 2016 au cours de laquelle des experts se sont réunis pour discuter et partager des recherches sur les modes d’entraînement des athlètes. Un groupe de chercheurs a rassemblé les principaux résultats discutés pour fournir un examen scientifique consensuel sur le suivi de la charge d’entraînement de l’athlète et les outils utilisés pour l’évaluation. Jetons un coup d’œil à ce que la science a trouvé La charge d’entraînement peut être divisée en catégories de charge interne et externe. La charge interne est définie par des facteurs de stress psychologiques et physiologiques. Les mesures comprennent la fréquence cardiaque, les évaluations de l’effort perçu (RPE) et la consommation d’oxygène. Les charges externes sont des mesures objectives du travail d’un athlète. Les mesures comprennent généralement la puissance, le volume, le tonnage, la vitesse et le temps. Les outils et modèles suivants génèrent et/ou utilisent ces mesures pour évaluer la charge d’entraînement, la capacité de performance et/ou le risque de blessure d’un athlète.  Suivi de la charge d’entrainement avec des mesures GPS Les paramètres du système de positionnement global (GPS) sont une mesure de charge externe courante pour les sports d’équipe. Les appareils GPS aident à mesurer la distance, la vitesse et l’accélération. Ils peuvent également donner des indicateurs de charge externe telles que le nombre d’efforts qu’un athlète entreprend dans des seuils de vitesse ou d’accélération. Un effort d’accélération se produisant généralement au cours des premiers pas ⏤ est mesuré comme le temps qu’un athlète passe au-dessus d’un taux d’accélération donné (par exemple, 3 m/s²). Bien que la recherche ait suggéré l’utilisation d’appareils GPS comme un outil valide et fiable pour quantifier la distance et la vitesse, il y a des mises en garde. La recherche suggère que la précision du GPS est améliorée avec une fréquence d’échantillonnage plus élevée. Cela signifie que les individus doivent effectuer plusieurs essais lors de l’utilisation d’appareils GPS pour obtenir des mesures précises. Pour ajouter, si la piste ou l’intervention évaluée comprend un athlète ayant un taux élevé de changement de vitesse, le GPS devient moins précis dans la mesure de la vitesse. Outils pour l’entraînement en force et en puissance Les programmes d’entraînement incluent le plus souvent des entraînements de force et de puissance. L’exercice de résistance est généralement inclus dans de tels programmes d’entraînement. Les charges d’entraînement de force et de puissance sont surveillées à l’aide d’une charge, d’un volume et d’u tonnage éventuellement, qui résument le travail mécanique effectué. Le travail mécanique est déterminé par le produit de la force et du déplacement pendant l’exercice. La recherche a suggéré divers outils et méthodes pour mesurer une telle intervention, notamment : des capteurs inertiels et un accéléromètre, une analyse vidéo, des plaques de force et un V-scope. Codeurs linéaires, capteurs inertiels et accéléromètres semblent démontrer une plus grande promesse dans l’évaluation de la charge d’entraînement dans la salle de sport par rapport aux autres outils mentionnés précédemment. L’analyse vidéo, les plaques de force et les outils V-scope peuvent être plus coûteux et se sont avérés difficiles à mettre en œuvre dans des environnements réels. Outils et stratégies de suivi de la charge d’entrainement chez les jeunes athlètes Il est important de faire le suivi de la charge d’entraînement de manière appropriée chez les jeunes athlètes. Des recherches ont montré que des volumes élevés d’entraînement entraînent des départs à la retraite anticipés et un plus grand risque de blessure.  Les chercheurs suggèrent que les jeunes athlètes tiennent un journal d’entraînement. Un journal d’entraînement permet aux jeunes athlètes de comprendre leur suivi de la charge d’entraînement personnelle, ainsi que l’importance et les ramifications de leur propre assiduité, de leurs performances et de leur santé. Les facteurs liés au mode de vie doivent être pris en compte, car des études ont déterminé une relation entre les facteurs de stress hors entraînement et hors compétition et l’épuisement et/ou l’abandon du sport. Des études suggèrent également que les mesures RPE doivent être utilisées avec prudence lors du suivi de la charge d’entraînement des jeunes athlètes. Les mesures RPE sont notées par évaluation personnelle, et les jeunes athlètes ont tendance à ne pas être fiables en ce qui concerne l’auto-évaluation. Il est suggéré d’utiliser plusieurs mesures de charge interne pour effectuer ce suivi de la charge d’entraînement des jeunes. Mesures psychologiques et suivi de la charge d’entrainement Les facteurs de stress psychologiques peuvent avoir un impact significatif sur la performance d’un athlète. Des études ont suggéré que différentes données démographiques (par exemple, l’âge, le sexe, l’origine ethnique) et la psyché d’un individu ont un impact sur le degré de vulnérabilité d’un athlète. Le degré de vulnérabilité d’un athlète peut avoir un impact considérable sur le potentiel de récupération, la capacité d’effort, les facteurs de stress et la tolérance au stress. Des recherches axées sur le surentraînement ont démontré que les stresseurs psychologiques sont plus sensibles et cohérents que les stresseurs physiologiques. Les mesures psychologiques peuvent être évaluées à l’aide du profil des états d’humeur, du Borg RPE, du RPE de session et du questionnaire de récupération-stress pour les athlètes. La recherche a vérifié la validité et l’exactitude de l’évaluation mentionnée et est couramment utilisée pour surveiller les athlètes. L’échelle de récupération et de stress aigus a également été déterminée comme une évaluation valide pour quantifier la récupération et le stress. Alors, quelle mesure ? Quel outil ? En résumé, le type d’intervention, le sport d’équipe ou individuel, les finances et l’environnement doivent tous être pris en compte pour déterminer quels outils et/ou mesures doivent être utilisés pour le suivi de la charge d’entrainement. Restez à l’écoute pour la partie 2, où nous continuerons

Suivi de la charge d’entraînement : quel outil est le meilleur ? Lire la suite »

Applications pour coachs sportifs : 6 raisons de les utiliser

Applications pour coachs sportifs : 6 raisons de les utiliser Retrouvez tous les avantages à utiliser une applications pour coachs sportifs : programmation, meilleures performances, prévention des blessures, retours à l’entraînement… Voir ThePerfClub Réserver une démo Les applications pour coachs sportifs qui aident au suivi des athlètes sont largement utilisées par les entraîneurs dans des sports collectifs comme le football, le rugby et le basket-ball. Les entraîneurs de ces sports suivent leurs athlètes pour améliorer leurs performances. Les sports individuels ne devraient pas être différents dans la rigueur du suivi. Ces dernières années, les applications pour coachs sportifs ont rapidement été adoptées pour suivre les performances des athlètes. Compte tenu de l’adoption rapide de la technologie dans le sport, cet article explique pourquoi la technologie de suivi des sportifs à l’aide d’applications pour coachs sportifs est vitale pour tous les niveaux. Les six raisons pour lesquelles les applications pour coachs sportifs aident au suivi des athlètes : Avantage compétitif Progression et développement de l’athlète Réduction du risque des blessures Marqueur objectif de la performance des joueurs (benchmarks) Retour à l’entraînement après une blessure Planification des entraînements 1. Avantage concurrentiel des applications pour coachs sportifs Les applications pour coachs sportifs de suivi des performances permettent à un programme de : Se concentrer sur les besoins spécifiques des athlètes et d’offrir un meilleur développement individuel Structurer des séances d’entraînement plus efficaces pour garder les athlètes frais et engagés Concevoir des séances d’entraînement plus éclairées en fonction des demandes individuelles et d’équipe Utiliser les données de performance pour prendre des décisions de coaching plus éclairées Lorsque vous développez de meilleurs athlètes, que vous les entraînez plus efficacement et que vous prenez de meilleures décisions, vous vous donnez un avantage sur vos adversaires. —> Cliquez ici pour télécharger notre ebook gratuit « S’entraîner mieux que vos concurrents » 2. Progression et développement des sportifs Le suivi des athlètes à l’appui d’applications pour coachs sportifs permet aux entraîneurs, préparateurs physiques et au staff d’établir et de voir l’évolutions des repères tout au long de la saison sur la base de données. Les entraîneurs peuvent établir des références à partir de la pré-saison (ou des saisons précédentes) et suivre ces mesures tout au long de l’année. Les résultats sont un moyen plus précis de mesurer le développement au cours de la saison et d’une année à l’autre. ThePerfClub a des métriques spécifiques sur la gestion de la fatigue et du niveau de forme qui peuvent être utilisées dans n’importe quelle sport, et même dans une population plus généraliste pour du renforcement musculaire ou du bien-être. 3. Prévention des blessures Rien ne peut faire dérailler une saison plus rapidement qu’une série de blessures. Bien que la cause des blessures soit multifactorielle, les données d’entraînement peuvent aider à fournir des données qui peuvent être utilisées pour essayer de déplacer la probabilité de blessures survenant dans une direction favorable. De nombreuses blessures de surutilisation surviennent lorsque les athlètes font trop de volume sur une courte période de temps ou sont exposés à des intensités supérieures à celles auxquelles ils sont habitués. Les mesures basées sur la charge telles que le volume, le tonnage ou le temps sous tension, peuvent être utilisées pour quantifier le travail effectué et aider les entraîneurs à planifier les séances futures dans une structure de charge progressive. —> Retrouvez notre revue de ThePerfClub pour une utilisation dans le crossfit avec un Owner de box qui utilise des applications de coachs sportifs pour le suivi de ses athlètes 4. Marqueur objectif de la performance du sportif L’une des situations les plus difficiles pour les entraîneurs et coachs sportifs est de discuter de la performance d’un joueur, et l’athlète ne voit pas ce que le staff voit. C’est là qu’interviennent les données du suivi. Les chiffres ne mentent pas – les données sont une mesure objective du volume et de l’intensité que l’athlète produit sur le terrain ou à la salle de sport. Cela peut créer une opportunité de discussions et d’éducation sur ce que les données fournissent et l’impact de la charge de travail sur le corps. Aider à définir le contexte derrière les chiffres peut aider les athlètes et le personnel à s’améliorer. 5. Le retour à l’entraînement avec les applications pour coachs sportifs Lorsque des blessures surviennent, disposer de données objectives facilitera le processus de retour à l’entraînement avec un athlète blessé. Les données permettent au praticien de définir les deux points de repère individuels de l’athlète pour comparer où ils en sont maintenant à leur performance avant que la blessure ne se produise. Les repères peuvent également être constitués de marqueurs techniques. Cela donne à l’athlète, au praticien et au personnel d’entraîneurs l’assurance qu’ils ont exposé l’athlète à des exigences spécifiques au jeu pendant le processus de rééducation. ThePerfClub a la capacité de mesurer l’évolution de la charge d’entraînement dans le temps pour éviter les « pics et les creux » de charge d’entraînement qui peuvent augmenter le risque de blessure. Lors d’un retour à l’entraînement, vous pouvez prendre un point de départ conservateur quant au volume d’entraînement et effectuer un suivi sur l’évolution de la surcharge jusqu’au niveau de performance voulu. 6. Planification des entraînements Les applications pour coachs sportifs peuvent aider les entraîneurs, coachs et préparateurs physique à planifier leurs séances quotidiennes, et les plans hebdomadaires et mensuels pour s’assurer du résultat des entraînements et des compétitions et de la bonne dose de volume et d’intensité. La préparation de la séance est un juste équilibre entre le niveau de fraicheur quotidien et les exercices à réaliser – et lorsque ces variables peuvent être mesurées, elles peuvent être gérées. ThePerfClub permet d’évaluer la capacité à performer des sportifs chaque jour pour adapter la charge d’entraînement quotidienne selon le niveau de forme. Cette autorégulation permet d’optimiser la progression tout en évitant les blessures. Pour voir notre solution en action, regardez notre vidéo de présentation ou réservez une démo gratuite. Voir ThePerfClub Réserver une démo

Applications pour coachs sportifs : 6 raisons de les utiliser Lire la suite »

Comment créer un plan d’entraînement annuel

Un plan d’entraînement annuel est un outil flexible et à long terme pour vous aider à organiser votre entraînement. Voici quelques conseils pour créer votre propre plan. La durée de carrière d’un athlète est tout à fait unique d’un sport à l’autre sports. Si vous restez assez longtemps, vous n’atteindrez probablement votre apogée qu’après 10 à 15 ans de pratique du sport. Evidemment, il existe de nombreux facteurs qui influent sur la durée de votre carrière compétitive (quand vous débutez, blessure, objectifs, hygiène de vie, etc.). En supposant que les blessures et les autres variables de la vie soient contrôlées, votre entraînement reflète-t-il le potentiel pour maximiser votre carrière compétitive ? La plupart des athlètes réalisent jusqu’où ils doivent aller pour atteindre leurs objectifs et, parfois, font des choses par désespoir qui ne correspondent pas exactement au dicton du « marathon, pas un sprint ». Une grande partie de l’attention d’un athlète devrait être consacrée au présent, mais nous ne pouvons pas laisser passer l’image à long terme entre les mailles du filet. L’objectif de cet article est de vous fournir un outil pratique pour organiser la vision à long terme de l’entraînement sans l’avoir constamment en tête. Une approche flexible à long terme de l’organisation de la entraînement Parmi les athlètes et des coachs, la plupart semblent savoir ce qu’ils font au cours de leur prochaine semaine d’entraînement. 90% d’entre eux ont probablement prévu les 2-3 prochaines semaines. Indépendamment de ce qu’ils ont sur le papier, la plupart ont une idée de la durée du cycle auquel ils se sont engagés et de ce qu’ils veulent accomplir pendant cette période. Je vais même prendre des risques et dire que la plupart vivent selon le cycle de 8 à 12 semaines. Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose, mais cela soulève la question suivante : comment ces 8 à 12 semaines s’intègrent-elles dans le reste de l’année ? Vous entraînez-vous pour maximiser les progrès en 8 à 12 semaines (en supposant que les 8 à 12 semaines auxquelles nous faisons référence ne mènent pas à une compétition) ou vous entraînez-vous pour maximiser le potentiel de carrière ?  Je ne dis pas que vous devriez planifier des séries et des répétitions exactes + de 6 mois à l’avance, au contraire. Toute la prémisse de l’organisation du plan d’entraînement annuel est de se poser la question : est-ce approprié maintenant ? Le plan annuel doit préparer le terrain pour un développement à long terme, et il doit être suffisamment flexible pour apporter des changements à tout moment. Composantes fonctionnelles du plan annuel de entraînement Pour simplifier cela, nous pouvons considérer le plan d’entraînement annuel comme une horloge – une horloge qui nécessite plusieurs engrenages et leviers, tous avec des tâches spécifiques travaillant de manière interdépendante. Votre horloge spécifique dure pendant toute la durée de votre carrière compétitive. Remarquez que j’ai dit carrière compétitive; le plan d’entraînement annuel n’est pas nécessaire pour toute personne autre que les athlètes de compétition. (Ce n’est pas une mauvaise idée d’en créer un si vous n’êtes pas un compétiteur ; ce n’est tout simplement pas nécessaire et compliquera probablement votre programme…) Les composantes fonctionnelles du plan d’entraînement annuel sont le temps, la spécificité, la charge et la classification des phases. Temps C’est de loin l’élément le plus important du plan annuel. Cette section du plan annuel doit être divisée en mois et semaines au cours desquels les mois vous donnent une chronologie macro et les semaines quantifient la durée de chaque micro cycle spécifique. Il faut tenir compte des dates importantes connues (vacances, compétitions, congés prévus, etc.). Les dates connues englobent tout ce qui influencera considérablement votre programme d’entraînement normal.  Continuum de spécificité La planification d’une progression de spécificité à long terme doit être descriptive et très flexible. Le continuum de spécificité est une approche à plusieurs niveaux de la classification des exercices. Pour cela, nous allons nous inspirer du système de classification allant de non spécifique à très spécifique. Nous pouvons développer un système à 4 niveaux pour définir ces catégories : Épreuve de compétition – Épreuve de compétition. Développement spécifique – Mêmes muscles utilisés dans l’épreuve de compétition et mouvements similaires. Préparatoire spécifique – Mêmes muscles utilisés dans l’épreuve de compétition mais mouvements différents. Préparation générale – Différents mouvements de l’épreuve de compétition / différents systèmes énergétiques. La mise en œuvre d’une progression de spécificité dépend de quelques facteurs, notamment les besoins immédiats, la durée entre les dates importantes de votre calendrier et le niveau de l’athlète. Ce dernier point déterminera à ou est ce que la majorité du volume d’entraînement doit être allouée. Les besoins immédiats et le temps sont interdépendants. Si vous êtes à 30 semaines d’une compétition, vos besoins immédiats seront très différents de ceux de 6 semaines. Lors de la conception d’une progression de spécificité, il est probablement préférable de remonter d’une date de fin à une date de début. La date de fin peut être une rencontre, la fin du cycle, une session de test planifiée, une décharge ou même des vacances. Gestion de la charge d’entraînement Combien de programmes populaires pouvez-vous nommer de tête ? La plupart de ces programmes ont un certain type de schéma de surcharge (entre autres variables) qui les différencie. Étant donné que le nombre total de schémas de charge possibles n’est probablement limité que par votre imagination, nous nous concentrerons sur quatre types de blocs différents qui sont évolutifs dans la plupart des modèles de entraînement. Pour cette section, nous tenterons seulement de définir le jeu de volume et d’intensité des blocs, car nous avons déjà discuté du continuum de spécificité. Blocs de volume/accumulation Charges totales de travail généralement modérées à très élevées. Niveaux d’intensité réduits par rapport aux autres blocs. La durée peut être aussi courte que 2-3 semaines ou aussi longue que 10+ semaines lorsque les adaptations d’hypertrophie sont l’objectif principal. En général, le volume doit être augmenté au fil des semaines. Vous pouvez utiliser une approche linéaire, ondulée ou conjuguée pour augmenter le volume. Les niveaux de résistance absolue peuvent baisser en fonction de la disposition de ce bloc et de sa durée. Le volume total devrait être d’une importance primordiale ici. Blocs d’intensité/d’intensification Généralement

Comment créer un plan d’entraînement annuel Lire la suite »

récupération active

Qu’est-ce que la récupération active ? 7 entraînements de récupération active

Ne perdez pas vos jours de repos sur le canapé. La récupération active vous aide à rebondir plus rapidement après vos entraînements et à être plus performant qu’en regardant votre émission préférée. La récupération active est une activité de faible intensité qui favorise la circulation sanguine vers les muscles et vous aide à récupérer. Bien que récupérer puisse signifier vous détendre sur le canapé, ce n’est pas nécessairement la meilleure option pour rebondir après votre entraînement. Bien que cela semble contradictoire, être actif peut aider vos muscles endoloris à mieux récupérer d’un entraînement intense que de se reposer. Les activités de haute intensité telles que l’haltérophilie, les entraînements HIIT, la course à pied ou les sports d’équipe peuvent entraîner des raideurs et des douleurs musculaires ou une fatigue musculaire le lendemain. La récupération active peut aider à soulager la douleur et peut également améliorer vos performances. QUELLES SONT LES CAUSES DES DOULEURS MUSCULAIRES POST-ENTRAÎNEMENT ? La fatigue musculaire est entre autre causée par l’accumulation de lactate dans les tissus.  La raideur avec laquelle vous vous réveillez le jour (ou les deux jours) après une séance d’entraînement est une douleur musculaire d’apparition retardée. C’est la douleur et la raideur qui commencent un jour ou deux après une séance d’entraînement. Vos muscles sont sensibles au toucher ou ont une amplitude de mouvement réduite. D’autres symptômes sont les gonflements, la fatigue et la perte de force musculaire à court terme. Elle est causée par des déchirures microscopiques dans les fibres musculaires. Votre corps réagit à ce stress en augmentant l’inflammation, ce qui entraîne des courbatures le lendemain. Ces douleurs arrivent à presque tout le monde, des débutants aux athlètes d’élite. Elles frappent le plus souvent lorsque vous augmentez l’intensité de votre entraînement ou essayez de nouveaux types d’exercices auxquels votre corps n’est pas habitué. AVANTAGES DE LA RÉCUPÉRATION ACTIVE Les entraînements de récupération active offrent de nombreux avantages à votre corps. L’objectif est de mélanger un entraînement d’intensité moyenne à élevée avec quelques jours de récupération active de faible intensité tout au long de la semaine. Une étude de 2018 analysant les techniques de récupération post-entraînement a révélé que la récupération active présente de nombreux avantages, notamment : Augmentation du flux sanguin dans les muscles touchés Éliminer les déchets métaboliques tels que le lactate et les ions hydrogène Réduire la douleur Maintenir votre routine d’exercice et votre technique sans vous épuiser lors d’un entraînement intense Cela peut également aider à prévenir de futures blessures RÉCUPÉRATION ACTIVE VS RÉCUPÉRATION PASSIVE Planifier une récupération active dans un jour de repos est un bon moyen de vous accorder une pause sans vous affaler sur le canapé. Si l’objectif de votre journée de repos est de stimuler la récupération, alors vous devez réellement prendre des mesures pour cela, ce n’est pas simplement l’inaction de ne pas aller au gymnase. La récupération active après une séance d’entraînement permet à la fréquence cardiaque de diminuer lentement. Le faire un jour de repos augmentera votre fréquence cardiaque mais n’ajoutera pas de stress articulaire lié au cardio ou au HIIT. La récupération passive, en revanche, est le jour de la frénésie. La détente vous aide à rebondir les jours de grande fatigue et aide à guérir les blessures. La récupération passive peut être plus utile après un exercice court et répétitif de haute intensité, comme l’entraînement en circuit training, mais la récupération active peut être une meilleure option après d’autres types d’entraînement, comme la course, la pratique d’un sport ou de préparation physique ou une compétition sportive. De plus, la récupération active est bénéfique lorsque vous vous mettez dans le rouge pour un événement. Les deux types de récupération sont utiles pour donner à votre corps le repos dont il a besoin. TYPES DE RÉCUPÉRATION ACTIVE Il existe plusieurs façons d’envisager la récupération active. C’est quelque chose à faire un jour de repos, entre les jours de bonnes séances et pendant les décharges. Certaines activités légères entre les jours d’entraînement , comme marcher ou faire du yoga, aideront à augmenter le flux sanguin sans l’intensité d’un entraînement. La récupération par intervalles (des choses comme le jogging en tempo de vitesse) peut vous aider à récupérer plus rapidement. Les athlètes récupèrent plus rapidement lorsqu’ils travaillent entre 50 et 60 % de leur fréquence cardiaque maximale que lorsqu’ils restent immobiles ou marchent lentement pendant l’intervalle de récupération. Se calmer après une séance d’entraînement signifie ne pas s’arrêter immédiatement après l’effort. Un jogging de récupération à 50-60% de la fréquence cardiaque maximale vous permettra de revenir progressivement à un état de repos. Les récupérations comprennent des étirements dynamiques, du jogging, de la marche, du vélo et des exercices de mobilité. 7 ENTRAÎNEMENTS DE RÉCUPÉRATION ACTIVE Le cardio à un rythme constant comme la marche ou le jogging est un moyen facile de ralentir votre rythme cardiaque après une séance d’entraînement ou d’assouplir les muscles raides un jour de repos. La natation est une activité à faible impact qui peut aider à réduire l’inflammation . Le cyclisme augmente la circulation sanguine sans mettre à l’épreuve les muscles endoloris. Le yoga allonge les muscles et les tendons et aide à développer une meilleure mobilité. Entraînement de résistance légère utilisant de petits poids ou des poids de corps. Des exercices d’étirement dynamique et de mobilité pour les hanches et le tronc peuvent aider à prévenir les douleurs en aidant à éliminer le lactate. La libération auto-myofasciale permet de masser les muscles surmenés et d’augmenter le flux sanguin vers la zone afin de soulager la douleur. UTILISATION DE THEPERCLUB POUR UNE RÉCUPÉRATION ACTIVE La métrique de récupération ThePerfClub reflète la capacité de votre corps à encaisser chaque jour la charge d’entraînement. Les facteurs peuvent inclure la maladie, les séances antérieures, le stress psychologique et la quantité/qualité de sommeil que vous avez eu. Lorsque votre récupération est élevée, votre corps est prêt à subir le stress de l’entraînement. Lorsqu’elle est basse, vous courez un plus grand risque de blessure ou de surentraînement. Ces mesures peuvent vous aider à décider si vous pouvez avoir une journée de récupération active ou passive. L‘autorégulation vous aide à atteindre une charge réparatrice pour une récupération active. Une fois que vous avez défini votre objectif, ThePerfClub vous montre votre zone d’entraînement immédiatement et vous permet de savoir exactement quand vous avez atteint le niveau de charge

Qu’est-ce que la récupération active ? 7 entraînements de récupération active Lire la suite »

quantification charge d'entraînement

Applications de suivi des athlètes : 7 choses à savoir

Application de suivi des athlètes : 7 choses à savoir Optimisez les séances, évitez les blessures et performer quand il le faut. Voir ThePerfClub Réserver une démo Beaucoup de questions apparaissent quand vient le moment de choisir une application de suivi des athlètes. Le suivi des athlètes n’a pas besoin d’être un fardeau ou une solution de haute technologie, et certains entraîneurs se débrouillent très bien pour communiquer avec les athlètes sur ce qu’ils ressentent.  Je suis dérangé par le mantra « Measure What Matters » qui est populaire aujourd’hui dans certains domaines, probablement une réponse à trop de battage publicitaire derrière la promesse de la science du sport. Bien que je sois totalement conscient avec le fait que les entraîneurs ne veulent pas prendre plus de temps pour le suivi des athlètes, dans ce climat de responsabilité découlant d’une pratique fondée sur des données probantes, il est temps de faire quelque chose pour bien choisir une application de suivi des athlètes. Si vous suivez déjà vos athlètes, cet article vous aidera à mieux le faire. Si vous ne le faite pas, cela vous aidera à démarrer du bon pied. 1. Qu’est-ce que le suivi des athlètes exactement ? J’ai peut-être passé sous silence l’évidente nécessité de définir le suivi sportif. En termes simples, le suivi consiste à prendre des mesures répétées d’un athlète pour aider à guider le processus d’entraînement avec des données pertinentes. La définition n’est pas passionnante, mais le domaine du monitoring a besoin d’une terminologie plus précise. Certains entraîneurs et athlètes utilisent le mauvais langage de manière interchangeable et oublient que le processus de suivi est répété et continu tout au long de la période pendant laquelle un athlète s’entraîne et concourt. Un programme de suivi utilisant plusieurs approches réduit le risque qu’un problème devienne incontrôlable. La période de suivi d’un athlète peut être courte avec des approches spécifiques, mais toute la période doit utiliser une approche longitudinale et c’est la raison pour laquelle un questionnaire subjectif quotidien est vital.  Les avantages de l’utilisation d’une application de suivi des athlètes sont : Cela conduit à une communication efficace et succincte entre les athlètes et le staff. Il réduit les blessures et les maladies grâce à l’observation des tendances et des changements. Il améliore les résultats de l’entraînement en gérant la fatigue et la forme avec une plus grande précision. Il vous aide à mieux comprendre les processus d’entraînement et de récupération des athlètes. La suivi des athlètes peut être low-tech ou high-tech, ou une combinaison de techniques et de technologies analogiques. Tant que la science est valide et fiable, et que le processus est durable, les coachs devraient se sentir encouragés à utiliser la méthode qui leur convient le mieux. En général, un bon programme de suivi sportif utilise plusieurs approches pour réduire les risques qu’un problème devienne incontrôlable. La plupart des décisions sur la façon de faire son suivi avec une application ou non proviennent de défis budgétaires et logistiques, ainsi que de l’expérience et de l’expertise avec les informations collectées.   2. Les applications de suivi des athlètes fonctionnent-t-elles ou est-ce simplement du battage publicitaire ? Les applications de suivi des athlètes sont-elles une proposition vouée à l’échec ou est-ce un parachute doré pour les préparateurs physique ? La science est claire sur le fait que la quantification de la charge et de la forme peut aider à réduire les blessures et à améliorer les résultats, mais comme les recherches sont contradictoires, la plupart des entraîneurs ne perdent pas le sommeil quand ils ne font pas ce suivi. Un bon état d’esprit à avoir avec le monitoring est que plus d’informations  pertinentes et valides aideront à résoudre le problème des erreurs dans l’entraînement, mais le chaos de la vie jettera toujours une inconnu dans un programme parfait sur le papier. Ce n’est pas que le suivi ne fonctionne pas, elle ne peut tout simplement pas tout faire. Le Monitoring peut booster un programme d’entraînement, si le coach écoute les données. La plupart des entraîneurs veulent savoir si une application de suivi des athlètes réduira le risque de blessures et améliorera l’entraînement pour élever le plafond de conditionnement et de puissance. Il existe des preuves que le monitoring est précieux dans la recherche, mais ce qui est toujours discuté, ce sont les athlètes qui «s’échappent». Mon expérience est qu’un programme de suivi est aussi bon que le programme d’entraînement, mais un programme d’entraînement peut être renforcé par le suivi si l’entraîneur écoute les données. Traitez le suivi des sportifs comme un filet de pêche : ce n’est aussi bon que si le filet est large et que les trous sont petits. Suite à l’analogie, vous ne pouvez attraper du poisson que lorsque vous allez dans l’eau, et dans l’environnement actuel,  vous devrez peut-être voyager plus loin pour obtenir ce que vous recherchez. Je vois tellement d’entraîneurs collecter un ensemble de données (filet étroit) et utiliser des approches grossières (gros trous). Je ne reproche à personne de ne pas avoir le temps ou le budget, mais si vous voulez vraiment faire la différence, vous devez être dévoué. C’est normal et acceptable de voir des blessures apparaître dans un programme même si tous les indicateurs sont au vert, ou un athlète échouer parce qu’il n’a pas fait beaucoup de progrès. Cela arrivera de temps en temps. Cependant, il n’est pas acceptable de ne rien faire pour aider un athlète en ce qui concerne le monitoring, car éviter complètement les responsabilités de suivi est aujourd’hui non professionnel et contraire à l’éthique. Il y a peut-être 10 ou 20 ans, demander à un athlète ce qu’il ressent était commun, mais aujourd’hui, vous devez en faire plus. Rien n’est garanti dans la vie, alors ne vous attendez pas à ce que le suivi soit un Saint Graal dans l’entraînement et le conditionnement. L’essentiel de ce que fait une application de suivi des athlètes est d’aider les jeunes entraîneurs à éliminer la négligence et la bêtise d’un programme d’entraînement et de permettre aux entraîneurs expérimentés de prendre des décisions plus précises. Le suivi ne créer pas de meilleurs entraînements ; il récompense simplement de meilleurs entraînements en amplifiant ce qui est bon dans

Applications de suivi des athlètes : 7 choses à savoir Lire la suite »

force, puissance, vitesse

À quelle intensité devez-vous pousser pendant une séance d’entraînement?

Pour la plupart des athlètes, l’idée est de monter l’intensité à fond à chaque séance d’entraînement. S’ils ne sont pas sur le sol en train de souffrir, essayant de repousser l’envie de vomir, ils ont l’impression de ne pas s’être suffisamment poussé. Dans cet article, parlons de certaines des leçons apprises sur l’autorégulation et comment mieux s’entraîner (pas plus). Voyons également comment des outils comme ThePerfClub peuvent aider à changer votre attitude envers la performance et la récupération, et à mieux répondre à la question « À quelle intensité devriez-vous vous entraîner ? » À la fin, 8 conseils pour être en meilleure forme et en meilleure santé tout en réduisant votre risque de blessure, quel que soit votre niveau de forme actuel. TRAVAILLER PLUS DUR QUE LA CONCURRENCE Beaucoup de sportifs sont des personnes motivées à faire de leur mieux dans tout ce qu’ils font. Pour beaucoup, cela signifie se pousser plus fort que les concurrents. L’objectif est de donner 100% d’effort maximum, 100% du temps. On pense que si on ne frôle pas la « zone rouge » à chaque séance d’entraînement, quelqu’un d’autre le fera – et il aura une longueur d’avance sur vous grâce à cela. LE CROSSFIT A RAVIVÉ LA PASSION POUR « LE DEPASSEMENT » Inspiré par l’état d’esprit compétitif et le goût pour l’effort du CrossFit. Une bonne séance pour beaucoup est la aussi de finir allongé sur le sol pendant 10 minutes après chaque séance d’entraînement. Ils sont toujours convaincu qu’ils ne s’amélioreront qu’en repoussant les limites à chaque fois qu’ils vont à la box de Crossfit. POURQUOI TOUT LE MONDE SE BLESSE AU CROSSFIT ? Le niveau des athlètes de crossfit s’est considérablement amélioré. Mais cette amélioration ne s’est pas faite sans de nombreuses douleurs et blessures. Tout le monde sait que les crossfitteurs se blessent. C’est comme ça que ça se passe, entend-on. Mais pourquoi? L’IMPORTANCE D’APPRENDRE À SE RETENIR Le concept de l’autorégulation est de plus en répandu aujourd’hui mais encore peu l’appliquent vraiment. L’idée derrière cela est de garder un œil sur votre niveau de récupération et d’adapter vos séances selon la forme du jour. Aussi il faut s’assurer que votre programme comprend plusieurs entraînements par semaine à intensité faible à moyenne pour favoriser la variation, la récupération et éviter la stagnation. Beaucoup d’athlètes sont sceptiques à propos de ce concept car ils ne voient pas l’intérêt de s’entraîner à une si faible intensité. Au lieu de cela, c’est une occasion en or d’effectuer votre séance avec peu de stress mental ou physique et de vous libérer du besoin de dépasser les autres, et surtout d’avoir le stimuli qui correspond à votre état. En conséquence, vous pourrez vous entraîner plus souvent sans vous sentir surentraîné et battu. COMMENT THEPERFCLUB VISUALISE VOTRE RÉCUPÉRATION Ce que vous allez vraiment aimer sur ThePerfClub est la façon dont il utilise vos données d’entraînement pour donner un aperçu de la façon dont vous devez récupérer et à quel point vous êtes prêt à encaisser une grosse charge d’entraînement. En utilisant ThePerfClub, vous surveillez votre bien-être et votre charge d’entraînement, vos effort, la variation de votre entraînement et votre capacité à performer. En d’autres termes, ThePerfClub peut vous dire comment votre hygiène de vie, en plus du stress physique lié à l’entraînement, affecte votre récupération et votre capacité à supporter un effort supplémentaire. COMMENT VOTRE ATTITUDE D’ENTRAÎNEMENT VA CHANGER Il est important de toujours garder un état d’esprit très compétitif. Mais réalisez que se mettre mal à chaque séance d’entraînement est insoutenable et inefficace. Laisser votre corps l’emporter sur votre esprit reste un défi quotidien. Vous verrez à quel point vous vous sentirez mieux – et à quel point vous progresserez plus vite – en abandonnant le désir d’être le premier à chaque fois. ThePerfClub va vous aider à évoluer d’un compétiteur brut à un athlète sophistiqué, et votre condition physique sera meilleure grâce à ça. 8 CONSEILS DURABLES POUR AMÉLIORER VOS PERFORMANCES SPORTIVES Voici huit conseils à intégrer dans votre programme d’entraînement. Ces étapes aideront à vous sentir mieux, à améliorer vos performances, à réduire votre stress et à limiter le risque de blessure. 1. Reconnaissez le stress externe2. Protégez votre sommeil3. Maintenez une alimentation saine4. Écoutez ce que votre corps essaie de vous dire5. Apprenez à apprécier les séances d’entraînement de faible intensité6. Pratiquez la pleine conscience7. Considérez la récupération comme importante 8. Rappelez-vous vos objectifs 1. RECONNAÎTRE LE STRESS EXTERNE Le stress quotidien peut être plus préjudiciable à vos performances un jour donné que l’effort physique d’un entraînement précédent. Il est important de le reconnaître et d’adapter votre programme d’entraînement en conséquence. Si vous vous rendez à l’entraînement stressé, ne vous attendez pas à de bons résultats. Au lieu de cela, prenez quelques minutes pour vous déconnecter ; envisagez de tirer parti des exercices de respiration et d’adapter votre entraînement (si nécessaire).  2. SOYEZ PROTECTEUR DE VOTRE SOMMEIL Le sommeil est sans doute le plus important des trois piliers d’un mode de vie sain, l’alimentation et l’exercice étant les deux autres. Il est donc important de protéger votre sommeil à tout prix, car il est crucial pour votre récupération, vos performances et votre bien-être général. La régularité de sommeil vous assure non seulement de dormir suffisamment en général, mais augmente également vos chances d’avoir un sommeil réparateur. 3. MAINTENIR UNE ALIMENTATION SAINE La nourriture est le carburant de votre corps. Si vous maintenez une alimentation malsaine, ne vous attendez pas à de grandes performances. Vous devez également réaliser que vous ne pouvez pas faire de l’exercice avec une mauvaise alimentation. Quand j’étais un jeune athlète, je pensais que je pouvais manger ce que je voulais, tant que je m’entraînais 13 fois par semaine. Malheureusement, c’était et c’est une idée fausse. Apprenez-en le plus possible sur la nourriture et son impact sur votre bien-être. De cette façon, vous pouvez l’utiliser comme un outil pour maximiser votre santé et vos performances. 4. ÉCOUTEZ CE QUE VOTRE CORPS ESSAIE DE VOUS DIRE ThePerfClub collecte et vous fait visualiser des informations exploitables qui peuvent vous aider à mieux comprendre votre corps et à ajuster votre programme d’entraînement. Chaque matin, ThePerfClub peut vous aider à déterminer votre capacité à

À quelle intensité devez-vous pousser pendant une séance d’entraînement? Lire la suite »

Eviter le surentraînement

Le surentraînement

Le surentraînement est un sujet très débattu dans le monde de la préparation physique depuis un certain temps maintenant. Certain disent qu’ils ne croient pas au surentraînement, mais seulement à la « sous-récupération ». Premièrement, il convient de discerner la différence entre le surentraînement et le dépassement fonctionnel. Les objectifs de ce court article sont de vous aider tous à comprendre : Qu’est-ce que le syndrome de surentraînement ? Comment fait-on la distinction entre le surentraînement et le dépassement fonctionnel ? Qu’est-ce qui distingue l’inflammation aiguë / locale VS. chronique / systémique ? Comment éviter le syndrome de surentraînement ? Développez vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Qu’est-ce que le syndrome de surentraînement ? Par définition, le syndrome de surentraînement est une baisse de la performance due à une quantité d’intensité qui ne permet pas d’atteindre le niveau de récupération adéquate. Cette diminution des performances persiste même après une période de repos prolongée. Le surentraînement peut durer de plusieurs semaines à plusieurs mois – et dans certaines occasions pendant toute la durée de la carrière de l’athlète. Et qu’est-ce qui le distingue du «dépassement fonctionnel» ? La différence entre le surentraînement et le dépassement fonctionnel est que le dépassement est un stimulus d’entraînement pour promouvoir l’adaptation conduisant à une amélioration des performances. C’est la prémisse principale de la supercompensation que nous nous efforçons tous d’obtenir avec nos athlètes. La courte diminution de la performance ne dure que quelques jours avec un dépassement excessif, et la plupart des entraîneurs conviendraient que le dépassement est un stimulus planifié qui se termine par une performance accrue. Quel est le symptôme le plus constant du surentraînement ? Le symptôme le plus courant est une diminution des performances qui persiste même après des périodes de repos prolongées. Cependant, un changement d’humeur est normalement le premier indicateur qui nous porte à croire qu’un solide suivis des athlètes pourrait aider à éviter ce syndrome. Il existe plusieurs autres symptômes dont nous parlerons plus tard et qui pourraient facilement être surveillés avec les systèmes de surveillance les plus élémentaires. Qu’est-ce qui distingue l’inflammation régionale de l’inflammation systémique ? L’entraînement est connu pour provoquer des microtraumatismes. C’est tout l’intérêt de l’entraînement physique. Le traumatisme est guéri par une inflammation régionale (aiguë) avec une réponse bien orchestrée qui conduit à la guérison et à la régénération des tissus. C’est pourquoi il est si important de se préparer judicieusement à la performance. Cependant, si l’inflammation aiguë n’est pas guérie avec une récupération appropriée, il en résulte une inflammation chronique (systémique). Après un certain temps de temps, des globules blancs en particulier apparaissent sur la scène pour aider à la guérison de tissus traumatisés – et ces globules blancs sont dirigés par des cytokines. Les cytokines dans la circulation sanguine sont un moyen principal de déterminer que l’inflammation aiguë est maintenant systémique. Quels sont les effets spécifiques des cytokines ? Les effets hormonaux sous forme de testostérone plus faible et de cortisol plus élevé sont dus à l’effet des cytokines sur l’hypothalamus – entraînant également une baisse de la libido et une baisse de l’appétit. L’hypothalamus est également à blâmer pour les niveaux d’énergie inférieurs et même la dépression associés aux cytokines. Un simple questionnaire permettrait de quantifier facilement ce problème. Il est recommandé de poser des questions comme: Quelle était la qualité du sommeil de la nuit dernière sur une échelle de 1 à 5 ? Si leur réponse normale est 4 ou 5 et que tout à coup vous obtenez un 2, il est temps d’engager la conversation avec l’athlète. Comment le stress en dehors de l’entraînement (ex. Relations, école ou travail) est-il ressenti sur une échelle de 1 à 5? Le but est de rechercher un nombre hors du commun. L’hippocampe est également affecté par les cytokines lors de l’inflammation systémique – ce qui perturbe l’apprentissage, la mémoire et les performances cérébrales. Cela pourrait à nouveau conduire à des questions simples pour encourager l’intervention pour éviter un cas de surentraînement. Le simple fait d’être au courant de la vie de vos athlètes pourrait également aider à prévenir le surentraînement. Ont-ils l’air fatigués mentalement ? Si tel est le cas, n’ayez pas peur de poser des questions complémentaires. Quelle branche du système immunitaire est altérée par les cytokines ? L’immunité à médiation cellulaire est liée à l’élimination des virus et bactéries intracellulaires. L’immunité humorale se concentre sur l’élimination des agents pathogènes extracellulaires opérant dans le liquide du corps, comme le sang et d’autres liquides extracellulaires. On pense que l’immunité humorale est augmentée tandis que l’immunité à médiation cellulaire est supprimée. Si cette hypothèse est correcte, l’inflammation chronique associée au surentraînement laisse l’athlète exposé à une infection virale ou bactérienne. Cette hypothèse prend tout son sens quand on regarde les effets secondaires courants liés au surentraînement. C’est pourquoi tant d’athlètes tombent malades proche de la compétition. Ils sont quelques jours avant une « décharge » – ce qui signifie qu’ils sont fatigués – et puis ils tombent malade. Éviter d’aller jusqu’à provoquer une inflammation chronique est le moyen d’éviter un grand nombre de ces effets secondaires négatifs. Voici quelques recommandations simples pour éviter le surentraînement et prévenir les blessures : Tenir des suivis méticuleux d’entraînement et de compétition. Surveiller vos athlètes dans les domaines suivants: choix de l’exercice, ordre des exercice, volume, intensité moyenne et repos entre les séries. N’augmentez pas le volume de plus de 10% par semaine. Bien que ce ne suit pas une vérité absolue. Ayez au moins un jour de repos complet par semaine et notez également le repos requis entre les séries et les exercices. Variez de préférence les charges et les exercices d’un jour à l’autre, même si la charge totale reste la même d’une semaine à l’autre. Cela fait référence à la monotonie, qui est un marqueur mesurable. Variez les jours durs et légers. Les jours de forte intensité, baissez le volume si possible

Le surentraînement Lire la suite »

charge d'entraînement et blessures

5 Idées reçues sur la charge d’entraînement et le risque de blessure

Les lignes directrices pour réduire les blessures liées à la charge d’entraînement sont souvent mal mises en œuvre. Plusieurs raisons à cela : Manque d’expertise ou de compréhension de la charge d’entraînement de l’équipe (équipe médicale, entraîneurs de force et de conditionnement physique, coachs technique etc.) les convictions individuelles les expériences individuelles Ces facteurs créent un écart entre la preuve étayant la charge de travail et son rôle dans les blessures et les programmes d’entraînement prescrits aux athlètes. Idée reçue n°1: La charge d’entraînement explique toutes les blessures La relation entre la charge d’entraînement, la performance et les blessures a fait l’objet de nombreuses recherches. Les performances peuvent, en partie, être expliquées par la charge de travail – une charge plus élevée est souvent associée à de meilleures performances. Il existe également des preuves qu’une charge de travail mal gérée peut causer des blessures (ou un risque accru de blessures) et de la douleur. En examinant ces résultats, on pourrait penser que la charge explique toutes les blessures. Cependant, il existe de nombreux facteurs influençant les performances et les blessures tels que: la biomécanique les facteurs de stress émotionnel les facteurs de stress liés au mode de vie les habitudes de sommeil … Il est donc impératif de comprendre que la relation entre la charge de travail, la performance et la blessure est complexe et multifactorielle. Idée reçue n°2: la «règle des 10%» de variation de charge Une méthode courante pour introduire des augmentations graduelles de la charge de travail consiste à utiliser la règle des 10%, où la directive est que l’augmentation de la charge d’entraînement ne doit pas dépasser 10% par semaine. Bien qu’il ait été démontré qu’une augmentation rapide de la charge augmente le risque de blessure, cette règle de 10% est arbitraire. Les changements de charge de travail doivent être interprétés en relation avec la charge d’entraînement chronique de l’athlète individuel. Par exemple, un athlète avec une faible charge d’entraînement chronique qui introduit de petites augmentations hebdomadaires de la charge d’entraînement (≤ 10%), aura un retour retardé à sa pleine capacité. D’un autre côté, un athlète avec une charge chronique élevée peut ne pouvoir tolérer que des augmentations plus faibles de la charge de travail. De plus petites augmentations de la charge d’entraînement (≤ 10%) peuvent être recommandées chez les athlètes avec une charge chronique extrêmement faible ou chez les athlètes avec une charge chronique extrêmement élevée. Les athlètes dont la charge chronique est modérée à élevée peuvent tolérer des augmentations plus importantes (≥ 10%). Ces augmentations peuvent également être nécessaires pour accélérer le processus de réhabilitation. La règle des 10% devrait plutôt être considérée comme une ligne directrice plutôt qu’une règle gravée dans le marbre. Idée reçue n°3: éviter à tout prix les « pics » et les « creux » de charge d’entraînement Le ratio de la fréquence de travail aiguë: chronique (ACWR) est déterminé par la charge d’entraînement aiguë (charge de la semaine en cours) par rapport à la charge de travail chronique (charge à long terme). Dans divers sports, il a été démontré que des augmentations rapides («pics») de la charge d’entraînement ont été associées à des augmentations du risque de blessure. Un ACWR compris entre 0,8 et 1,3 (ce qui signifie que la charge de travail aiguë est plus ou moins égale à la charge d’entraînement chronique) indique que le risque de blessure est relativement faible. Mais, si la charge d’entraînement aiguë est beaucoup plus élevée que la charge d’entraînement chronique et que l’ACWR est ≥ 1,5, il y a un risque accru de blessure. Il a été suggéré que les athlètes devraient donc garder leur ACWR ≤ 1,5 pour minimiser le risque de blessure. Cependant, la nature des blessures est multifactorielle. Il est également évident que certains athlètes subissent des blessures même avec leur ACWR ≤ 1,5 et d’autres athlètes peuvent tolérer ACWR ≥ 1,5. Cela indique que même si un athlète court un risque de blessure, la blessure pourrait ne jamais se produire. « Le risque n’est pas égal au taux. » Il est également possible qu’un entraînement insuffisant (« creux » de la charge d’entraînement) augmente également le risque de blessure. Le surentraînement et le sous-entraînement peuvent donc tous deux contribuer à l’augmentation du risque de blessure. Le sous-entraînement laisse les athlètes mal préparés aux exigences de la compétition et, généralement, les «creux» de la charge d’entraînement précèdent les «pics» de la charge de travail. Bien que ces changements dans la charge de travail puissent augmenter le risque de blessures, cela ne signifie pas que les athlètes et coachs ne devraient jamais augmenter rapidement la charge d’entraînement ou décharger les athlètes. Les preuves montrent que les blocs d’entraînement à haute intensité facilitent de plus grandes adaptations physiologiques et que les athlètes qui réduisent leur charge de travail pendant la période de décharge ont une amélioration de la performance après ça. Idée reçue n°4: 1.5 est le ratio de charge aiguë:chronique clé Comme mentionné précédemment, un ACWR ≥ 1,5 indique qu’un athlète peut courir un risque accru de blessure, mais ce 1,5 ACWR n’est pas un nombre magique. (N’oubliez pas: le risque n’est pas égal au taux). L’utilisation de l’ACWR comme méthode de prédiction des blessures ne fonctionnera pas car la nature des blessures est multifactorielle. Les modérateurs de la relation charge d’entraînement-blessure peuvent expliquer pourquoi certains athlètes ne peuvent pas faire face à un ACWR ≤ 1,5 et pourquoi certains athlètes peuvent faire face à un ACWR ≥1,5. Ces modérateurs agissent pour augmenter ou réduire le risque de blessure d’un athlète à une charge de travail donnée. Certains des modérateurs connus incluent: âge, taille, poids expérience d’entraînement historique des blessures qualités physiques hygiène de vie … Au lieu de se concentrer uniquement sur l’ACWR, les coachs et athlètes devraient viser à identifier les athlètes en fonction de ces modérateurs et interpréter les variables de charge d’entraînement en conjonction avec les données de bien-être et de préparation physique, ainsi que les divers facteurs pouvant influencer le risque de blessure. Il est conseillé aux praticiens d’intégrer leurs

5 Idées reçues sur la charge d’entraînement et le risque de blessure Lire la suite »

entraînement par la science

Entraînement par la science : avantages et pièges

La plupart des coachs et athlètes logiques aiment la science car elle nous fournit une base de vérité (ou de la proche vérité, prouvée ou réfutée par des tests). Voici comment mieux s’entraîner en utilisant la science. Introduction Beaucoup d’entre nous parlent et prescrivent un plan d’entraînement de façon scientifique. Nous voulons entendre parler de la dernière stratégie nutritionnelle, des gains aérodynamiques ou des dernières chaussures qui aideront à améliorer les performances, de préférence étayées par les dernières preuves scientifiques. Mais que signifie la science pour vous et quelle est son importance pour votre coaching ? En tant qu’entraîneurs et praticiens de l’art et de la science de l’entraînement, ce sont des questions avec lesquelles on se bat depuis des années. Les réponses peuvent non seulement faire de nous de meilleurs entraîneurs et athlètes, mais elles nous aident également à voir le monde sous un autre jour. Dans cet article, passons en revue les forces et les pièges de l’entraînement « prouvé » par la science. Qu’est ce que la science? Nous vivons dans une ère post-vérité, où le droit à une opinion est considéré par beaucoup comme plus important que la vérité. Ce n’est pas un phénomène nouveau. Socrate, un ancien philosophe grec, nous a avertis que nous ne devrions pas accepter ce que les autres nous disent à première vue, en particulier de ceux qui sont en position d’autorité. Il a plutôt préconisé de rechercher des preuves, de s’engager dans un raisonnement rigoureux et de remettre en question les hypothèses par l’observation. Mais qu’est ce que la science exactement ? Une définition : «La science est la recherche et l’application de connaissances du monde naturel et social et de compétences suivant une méthodologie systématique basée sur des preuves.» Maintenant, pensons à la science en relation avec notre propre pratique de l’entraînement. Pensez-vous que vos pratiques d’entraînement sont fondées sur la science ? Qu’y a-t-il de scientifique dans la façon dont vous vous entraînez ? Sur quel type de matériel scientifique vous basez-vous dans votre coaching ? Êtes-vous scientifiquement informé ? Dans de nombreux cas, les façons dont nous apprenons à coacher ou à nous entraîner ne sont pas systématiques. Au contraire, la plupart des entraîneurs apprennent par l’expérience, avec des essais et des erreurs, en regardant et en écoutant les autres. En conséquence, nous pouvons avoir des difficultés à expliquer ce que nous faisons et pourquoi. De plus, nos cerveaux sont pleins de biais cognitifs et de schémas de pensée défectueux qui influencent la façon dont nous prenons des décisions. Par exemple, nous recherchons souvent des informations qui soutiennent nos croyances préexistantes et nous font nous sentir bien dans notre peau. Comparativement, la science implique souvent l’expérimentation, des analyses critiques et un examen minutieux par des pairs experts. Mais cela rend-il l’approche scientifique meilleure ? La réponse dépend de: la qualité des preuves scientifiques et votre capacité à comprendre, à interpréter et à appliquer les conclusions Les limites du coaching fondé sur la science Le fait est que si des méthodes académiques rigoureuses ont pu être utilisées pour produire des preuves dans les sciences du sport, ces méthodes ont tendance à ne pas tenir lorsque nous appliquons les résultats dans le «monde réel». La plupart des disciplines scientifiques suivent des approches réductionnistes dans lesquelles les phénomènes complexes sont divisés en morceaux plus petits et sont étiquetés en termes de discipline et de sous-discipline. Ces approches nécessitent des environnements soigneusement contrôlés dans lesquels les chercheurs cherchent à prouver ou à réfuter une hypothèse en utilisant une forme d’observation ou d’expérimentation. Cependant, ces types d’études sont difficiles à généraliser à notre pratique au quotidien. Pour surmonter ces limitations, il est important que les scientifiques testent les résultats dans des contextes sportifs réels en menant des études de mise en œuvre. Ces études sont difficiles à mener et produisent souvent des résultats «désordonnés», qui, bien qu’ils reflètent le monde réel, sont difficiles à publier. Cela signifie que de telles études sont rarement menées et que de nombreuses croyances scientifiques ont des preuves limitées dans le monde réel pour les étayer. Coaching basé sur l’expérience, inspiré de la science Plus tôt dans l’article, je vous ai demandé de réfléchir à trois questions: Pensez-vous que vos pratiques d’entraînement sont fondées sur la science ? Qu’y a-t-il de scientifique dans la façon dont vous entraînez ? Sur quel type de matériel scientifique vous basez-vous dans votre coaching? Rappelez-vous, Socrate préconisait de rechercher des preuves, de s’engager dans un raisonnement rigoureux et de remettre en question les hypothèses par l’observation. En tant qu’entraîneurs, nous ne devons pas rejeter nos propres croyances fondées sur l’expérience comme étant moins objectives que la science. Mais nous devons toujours garder l’esprit ouvert, en considérant des approches alternatives et des points de vue différents aussi. Être capable de le faire signifie utiliser un raisonnement intellectuel, parfois soutenu par des méthodes scientifiques. Cela signifie également ne pas accepter les preuves scientifiques à leur valeur nominale. Nous devons plutôt savoir comment et pourquoi la science fonctionne dans le monde réel et disposer de preuves pour étayer nos croyances. Progressez avec ThePerfClub!ThePerfClub analyse automatiquement votre programme d’entraînement et son impact pour déterminer votre capacité à performer chaque jour. Essayer maintenant Articles recommandés

Entraînement par la science : avantages et pièges Lire la suite »

Réduire le risque de blessure

Bien gérer la charge pour réduire le risque de blessure

L’objectif global d’une bonne gestion de la charge est de construire idéalement les semaines d’entraînements et leur enchaînement. Le but étant d’améliorer l’adaptation et maximiser les performances tout en réduisant le risque de blessure. Cela implique donc la prescription correcte de la charge ainsi que le suivi et les modifications appropriées des charges externes et internes. Prescrire la charge d’entraînement Des charges élevées peuvent avoir des effets positifs ou négatifs sur les risques de blessures chez les athlètes. Les facteurs clés sont la progression de la charge au fil des semaines et le profil de risque intrinsèque de l’athlète. Les athlètes réagissent nettement mieux aux petites augmentations et diminutions de charge qu’aux grandes variations de charge. Différents sports auront différents profils de blessures dues à la charge. Les preuves actuelles provenant de différents sports recommandent aux athlètes de limiter les augmentations hebdomadaires de leur charge d’entraînement à moins de 10% ou de maintenir un rapport de charge aiguë:chronique dans une fourchette de 0,8 à 1,3, afin d’avoir une adaptation positive et donc réduire le risque de blessure. La charge aiguë est la charge de travail absolue effectuée en 1 semaine et la charge chronique est la charge de travail aiguë moyenne effectuée en 4 semaines. Le rapport entre aiguë et chronique montre si la charge de travail aiguë est supérieure ou inférieure à la charge de travail totale des semaines précédentes Une charge de travail aiguë: chronique de 0,5 signifie que l’athlète s’est entraîné la moitié de ce qui avait été fait pour les 4 semaines précédentes Un rapport de 2,0 signifie que l’athlète a fait deux fois plus, tout ce qui est supérieur à 1,5 est considéré comme un pic à l’entraînement et pourrait être considéré comme un risque de blessure. Il n’y a pas de principe de «taille unique». La charge doit être prescrite ou recommandée sur une base individuelle et flexible, car il existe une grande variation dans le délai de réponse et d’adaptation à la charge. La gestion de la charge chez les athlètes en développement doit être surveillée de près, car ces athlètes sont plus à risque de blessures lorsqu’ils sont introduits à de nouvelles charges, à des changements de charge ou à des calendriers de compétition difficiles. La prescription des charges d’entraînement doit être guidée par la variation des facteurs de stress psychologiques d’un athlète. Des séances de récupération adéquates devraient être incorporées après des périodes d’entraînement intensif. De plus, une attention particulière doit être portée à la nutrition, à l’hydratation, au sommeil, au repos, au repos actif, aux stratégies de relaxation. La santé de l’athlète est primordiale et les instances dirigeantes sportives devraient en tenir compte lors de la planification de leurs calendriers sportifs. Suivi de la charge et prévention des blessures Le suivi scientifique d’un athlète est essentielle pour une gestion idéale de la charge, l’adaptation de l’athlète et la gestion des blessures dans le sport. Les coachs et les athlètes devraient mettre en place des méthodes scientifiques pour analyser la charge de l’athlète et détecter des changements significatifs. Suivre toujours la charge individuellement. Employer une combinaison de mesures de charge externes et internes pertinentes et spécifiques à chaque sport. Les mesures de charge subjectives sont utiles pour les entraîneurs et les athlètes Surveiller la charge en utilisant une approche globale qui prend en compte l’interaction avec d’autres facteurs intrinsèques et extrinsèques tels que les antécédents de blessure, l’âge et le sexe. Une attention particulière doit être accordée au suivi de la charge de travail aiguë et chronique d’un athlète, ainsi que du rapport de charge aiguë:chronique d’un athlète individuel. Un suivi fréquent est suggérée pour permettre des ajustements précis des charges d’entraînement et de compétition. Réduire le risque de blessure Le suivi de la santé des athlètes peut conduire à une détection précoce des symptômes et des signes de blessure, elle peut aider à un diagnostic précoce et guider la prévention appropriée. Les outils de suivi doivent être sensibles aux blessures aiguës et de sur-utilisation, ainsi qu’aux premiers symptômes tels que la douleur et les limitations fonctionnelles Le suivi des blessures doit être continu, mais au moins avoir lieu pendant un certain temps (au moins 4 semaines) après une augmentation rapide de la charge. Progressez avec ThePerfClub!ThePerfClub analyse automatiquement votre programme d’entraînement et son impact pour déterminer votre capacité à performer chaque jour. Essayer maintenant Articles recommandés

Bien gérer la charge pour réduire le risque de blessure Lire la suite »